• Tchao l'artiste ! Je ne suis pas une grande cinéphile, mais il y a des acteurs ou actrices que j'apprécie tout de même et qui me font rêver. Et aujourd'hui j'ai comme beaucoup de français un pincement au coeur pour la mort de Jean Paul Belmondo, dont j'ai regardé certains films et que j'ai aimé. 

     

    Photo : Belmondo dans "L'as des as", film de Gerard Oury, en 1982. (C) Gaumont France Distribution


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  • J'ai toujours une grande admiration pour ces artistes exceptionnels qui arrivent à faire des créations avec de la matière hors du commun telle que la neige ou le sable. C'est trop beau !

    IncroyableIncroyable

     


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  • Et voilà encore des artistes que j'adore...

    C’est à la fin de l’été 2013 que naît officiellement le groupe “Trois Cafés Gourmands”, composé de trois amis d’enfance : Mylène Madrias , Jérémy Pauly et Sébastien Gourseyrol.


    Passés les premiers balbutiements, leur amitié se scelle vite à travers la musique grâce à trois voix complémentaires et deux guitares acoustiques. Les premières compositions arrivent avec des textes forts et des mélodies entêtantes. On se balade dans leur quotidien et au fil du temps entre amour, famille, déceptions et coups durs. Les titres joyeux et festifs en apparence cachent une certaine nostalgie et mélancolie que l’on aime découvrir à chaque nouvelle audition.

    En 2016, Trois Cafés Gourmands collabore avec des musiciens live pour étoffer le projet.  Ils sillonnent ainsi le grand Sud-Ouest de la France en élargissant et fidélisant un public de plus en plus nombreux. À chaque rendez-vous, c’est l’énergie et le partage qui prédominent, les “Gourmands” (nom donné au public) qui les découvrent en live sont immédiatement pris dans un tourbillon festif et émotionnel.

    ​En 2018, tout s’accélère, le clip de leur single “À Nos Souvenirs “ tourné en Corrèze, département d’origine de Trois Cafés Gourmands, est visionné plus de 73 millions de fois ; la France entière s’approprie la chanson pour en faire un véritable hymne au quotidien, repris en chœur aussi bien dans les cours d’école le matin que dans les discothèques jusqu’au bout de la nu

    Comment puis-je oublier
    ce coin de paradis?
    Ce petit bout de terre
    où vit encore mon père,
    Comment pourrais-je faire
    pour me séparer d'elle?
    Oublier qu'on est frères,
    belle Corrèze charnelle,
    Oublier ce matin que tu es parisien,
    Que t'as de l'eau dans le vin,
    Que tu es parti loin?

    Ce n'était pas ma faute,
    On jour des fausses notes,
    On se trompe de chemin,
    et on a du chagrin.
    On se joue tout un drame,
    On a des vagues à l'âme,
    Tu as du mal au coeur,
    Tu as peur du bonheur.
    Acheter des tableaux,
    Et des vaches en photo,
    C'est tout c'que t'as trouvé
    Pour te la rappeler.
    Vous me trouvez un peu con,
    Vous n'aimez pas ma chanson,
    Vous me croyez bizarre,
    Un peu patriotard,
    Le fruit de ma réflexion
    ne touchera personne,
    Si vos pas ne résonnent
    jamais dans ma région,
    C'est pire qu'une religion,
    Au-delà d'une confession,
    Je l'aime à en mourir,
    Pour le meilleur et pour le pire.
    Et si je monte au ciel,
    Il y aura peut être Joel,
    Guillaume et Jeremy,
    et mon cousin Piedri,
    Yoan sera en voyage,
    dans un autre pays,
    Allez fais tes bagages,
    Viens rejoindre tes amis:
    On veut du Claudie musette,
    A en perdre la tête,
    On veut un dernier chabrol,
    Un petit coup de niole,
    Les yeux de nos grands mères,
    La voix de nos grands pères,
    L'odeur de cette terre,
    Vue sur les Monédières,
    C'est pire qu'un testament,
    Au delà d'une confidence,
    On est des petits enfants
    de ce joli coin de France.
    Enterrez nous vivants,
    Bayonnez (bayonnais) s'il le faut,
    Mais prenez soin avant,
    De remplir notre chapeau,
    La relève est pour toi,
    notre petit Lucas,
    On t'laisse en héritage la piste,
    Nous on dégage.
    Le temps nous a gâté,
    On en a bien profité,
    On a des souvenirs en tête,
    Ce soir, faisons la fête!
    Acceptez ma rengaine,
    Elle veut juste "je t'aime"
    Soyez surs, j'en suis fier,
    J'ai la Corrèze dans l'cathéter,
    D'être avec vous ce soir,
    J'ai le coeur qui pétille,
    Mimi sers nous à boire,
    On a les yeux qui brillent...

    it.

     

     


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  • encore un chanteur que j'aime écouter.

    Kendji Girac, dit aussi Kendji, est né le 3 juillet 1996. Il chantedepuis l'âge de huit ans accompagné par son père à la guitare. Issu de la communauté des gens du voyage, il attire l'attention par l'une de ses chansons postées sur internet à dix-sept ans. Quelques mois après,Kendji intègre le casting de la saison 3 de The Voice, la plus belle voix où il intègre l'équipe de Mika. Sorti vainqueur de l'épreuve le 10 mai 2014, Kendji Girac rencontre le succès avec sa chanson « Color Gitano » qui figure sur l'EP Kendji Girac sorti en juin 2014. L'album Kendji Girac suit le 8 septembre.

     et voici sa dernière Tiago

    Depuis qu’on est des mômes Mon ami, on a ramé Mais tant qu’on est des hommes Les rames je veux ranger Si te viennent des larmes Viens donc me les donner Les gitans, les gitanes C’est pour ça qu’on est fait Tiago, j’ai pris, le temps de t’écrire Une mélodie, en mille sourires Tiago, j’ai mis le temps pour le dire Mais mon ami, je suis là pour le pire

    Qui se moque de toi Se moque aussi de moi Dans vingt ans tu verras On en rigolera Si ça part en bagarre On jouera quatre mains Les gitans, les gitanes Dieu nous donna des poings Tiago, j’ai pris, le temps de t’écrire Une mélodie, en mille sourires Tiago, j’ai mis le temps pour le dire Mais mon ami, je suis là pour le pire Mon ami mon ami mon ami, Tiago Mon ami mon ami mon ami, Tiago Mon ami mon ami mon ami, Tiago Tiago

    La copine qui part Mais ne reviendra pas C’est du temps pour se voir, oui Pour qu’on parle de toi Si ton cœur est en panne Apporte-le dans l’heure Les gitans, les gitanes On est bons bricoleurs Tiago, j’ai pris, le temps de t’écrire Une mélodie, en mille sourires Tiago, j’ai mis le temps pour le dire Mais mon ami, Tiago Tiago, j’ai pris, le temps de t’écrire Une mélodie, en mille sourires Tiago, j’ai mis le temps pour le dire Mais mon ami, je suis là pour le pire Tiago Tiago Tiago Tiago

     


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  • Laurent Amir Khlifa Khedider Haddad naît dans le 12e arrondissement de Paris le 20 juin 1984. Son père est français d'origine tunisienne et sa mère maroco-espagnole de religion juive. Il est franco-israélien.

    Après avoir vécu à Sarcelles, dans le Val-d'Oise, sa famille fait son Alya et part vivre en Israël alors qu'il est âgé de huit ans. Il utilise depuis cet âge son second prénom comme prénom usuel.

    Grâce à son bilinguisme, il fait son service militaire comme sergent-chef dans les renseignements de l’Armée de défense d'Israël.

    Il se fait connaître en Israël en 2006, en atteignant la finale de Kokhav Nolad, la version israélienne du télé-crochet Nouvelle Star. Amir Haddad débute cette même année des études de dentisterie à l'université hébraïque de Jérusalem, en parallèle avec la suite de sa carrière musicale.

    En 2011, il sort son premier album, Vayehi, enregistré en 2008 et qu'il a écrit avec le musicien Omri Dagan alors qu'ils sont encore étudiants. L'album inclut la version en hébreu du titre J'te l'dis quand même de Patrick Bruel, ainsi qu'une collaboration avec DJ Offer Nissim, reprenant le tube de 1991 Désenchantée de Mylène Farmer.

     

    Amir, de son vrai nom Laurent Amir Haddad,  est un auteur-compositeur-interprète franco-israélien.

    Après avoir participé à la finale de la troisième saison de The Voice, la plus belle voix, il est désigné pour représenter la France au concours Eurovision de la chanson 2016, où il se classe en 6e position avec le titre J'ai cherché, tiré de l'album Au cœur de moi.

    de très belles paroles dans cette chanson "Longtemps"

     

    J'veux des problèmes
    J'veux qu'tes galères deviennent les miennes
    J'veux qu'tu m'balances au visage tes orages, tes peines
    Pour des nuits diluviennes J'veux qu'on s'apprenne
    J'veux partager tes joies, tes migraines
    Ton corps me donne le vertige et tes mains me mènent
    Où rien ne nous gêne J'pourrais m'tatouer notre histoire sur le bras
    Me mettre dans de beaux draps si t'es avec moi
    C'est toi dans ce monde de fous
    Je l'sais c'est tout Et j'voudrais qu'ça dure longtemps
    User ma peau sur la tienne
    Un jour j'oublierai tout jusqu'à mon nom, je saurai simplement
    Que t'es là, que t'es belle, que t'es mienne
    J'voudrais qu'ça dure cent ans
    Que jamais la raison n'atteigne
    Cet aveu, cette envie de rêver tous les deux quand même
    Jusqu'à ce

     

     


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  • Un très bel hommage à ce grand artiste.  Ces chansons  resonneront encore longtemps.  Merci Charles AZNAVOUR


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  • c'est un ascendant de ma belle famille (recherche généalogique en cours)

    Alfred Roll, grand peintre républicain

    Comblé d’honneurs et de commandes publiques et privées, Alfred Roll (1846-1919) tombe dans un relatif oubli après sa mort, avant de connaître une réhabilitation récente. Au cours des années 1950 et 1960, ses héritiers gratifient différents musées, dont celui de Saverne, de donations. Cet été, une exposition y est consacrée au grand peintre républicain.

    Alfred Roll (1846-1919)  Document Musée de Saverne Alfred Roll (1846-1919) Document Musée de Saverne
     

    La photographie non signée évoque la manière de l’atelier de Nadar. Elle date sans doute des années 1880. Alfred Roll apparaît dans la force de l’âge, avec une abondante chevelure et une barbe républicaine. Le bourgeois fortuné résidant dans un hôtel particulier de la Plaine-Monceau conserve pourtant de sa jeunesse de rapin une allure un peu bohème.

    Une famille d’origine alsacienne

    Le père de l’artiste, François Joseph Roll est un ébéniste de Dettwiller. Monté à Paris dans les années 1840, il s’établit au Faubourg Saint-Antoine. Les affaires prospèrent. Pourtant, le jeune Alfred ne reproduit pas le modèle paternel. Il suit les Beaux-Arts et fréquente les ateliers de peintres réputés. Dès 1869, il expose au Salon. Il admire le talent et la personnalité de Courbet.

    Roll évoque dans ses tableaux la guerre de 1870 à laquelle il a participé et l’Alsace perdue. Surtout, il adhère avec enthousiasme à la République. Celle-ci le lui rend bien. Il en devient un peintre officiel. Son tableau monumental sur le thème du 14 juillet 1880, place de la République, est toujours exposé au Petit Palais. Roll est chargé des décors des salons de l’Hôtel de Ville de Paris et de palais nationaux.

    Dans une veine naturaliste, il réalise également des œuvres illustrant la question sociale, mais sans prétendre délivrer de message révolutionnaire. « La grève des mineurs » aurait inspiré Émile Zola pour Germinal. En même temps, Roll illustre la belle époque au tournant du siècle. En témoignent ses quelque 150 portraits de personnalités de la bourgeoisie française triomphante.

    Un peintre du mouvement et de la lumière

    Graduellement, sa manière glisse vers l’impressionnisme. Les paysages bretons et normands, les nus et figures allégoriques, les portraits intimistes en témoignent. La perspective s’efface. Le sujet se dilue.

    Le monde que peint Roll est pourtant menacé. La guerre éclate en 1914. Ses deux fils combattent dans les tranchées. Le vieux peintre réalise encore des œuvres de propagande illustrant les bombardements de Reims et les massacres de civils par l’armée allemande. Il décède en 1919.

    Grâce aux donations de son épouse Henriette et d’autres membres de la famille, le musée de Saverne possède un ensemble remarquable de l’art du XIXe  siècle français. Sa valorisation vient d’être assurée par le mécénat généreux du Kiwanis club de Saverne. Les œuvres seront présentées dans leur état d’origine, le mois prochain.


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