• le dernier voyage

    Oh ! Seigneur aide-nous ! Seigneur nous avons du mal à accepter la mort de Bruno que nous aimons.

    Nous avons du mal à comprendre que l’on puisse mourir si jeune, qu’une vie soit brisée alors qu’elle avait encore un long chemin à parcourir.

      Tu nous vois déchirés et abattus bien plus que nous ne pouvons l’exprimer, la mort de Bruno nous semble une injustice.  

    Nous nous tournons vers toi pour te dire notre peine et notre révolte.   Ne nous laisse pas seuls au fond de notre tristesse ; aide-nous à supporter le vide qui s’est creusé parmi nous ; fortifie notre espérance au-delà de notre souffrance.

      Aide-nous à supporter le désespoir qui nous envahit.   Toi qui es un père pour tous les hommes, toi qui nous aimes d’un amour infini, sois à nos côtés, aide-nous, donne-nous la force de nous relever.   Accueille Bruno comme un père accueille en sa maison.

      Donne-lui la paix et le bonheur que tu promets à tous tes enfants.   Que son amour né sur cette terre grandisse auprès de toi pour mieux nous consoler et nous redonner goût à la vie.   Que son amour uni à ton propre amour soit pour nous source de force et de courage jusqu’à ce que nous le retrouvions enfin pour partager ton amour dans la lumière de ta maison.

    le dernier voyage

    « le bonheurMERCI »

  • Commentaires

    1
    Lundi 1er Février 2016 à 12:55

    Sincères condoléances, toute mon amitié aussi et malheureusement c'est bien peu en de tels moments. bisous

    2
    Lundi 1er Février 2016 à 13:13

    Bonjour Mamilli

    C'est tellement , tellement triste .

    Encore toutes mes condoléances 

    De gros bisous

    3
    JOSETHE
    Lundi 1er Février 2016 à 14:42

    Je ne peux pas parcourir ce chemin tortueux à ta place, je te dis simplement : « Courage, Brigitte, tu es une femme formidable, pleine de talents, je t'aime beaucoup » 

    Victor Hugo étant un de mes poètes préférés, voici un de ces poèmes, accompagné de mes affectueuses condoléances, pour cette triste épreuve. 

    Je t'embrasse fort ma . . . . . . . 

     

    La tombe dit à la rose :

    - Des pleurs dont l'aube t'arrose

    Que fais tu, fleur des amours ? 

    La rose dit à la tombe :

    - Que fais-tu de ce qui tombe

    Dans ton gouffre ouvert toujours ?

    La rose dit :

    - Tombeau sombre,

    De ces pleurs, je fais dans l'ombre,

    Un parfum d'ambre et de miel.

    La tombe dit :

    - Fleur plaintive,

    De chaque instant qui m'arrive,

    Je fais un ange du ciel !

    Victor Hugo 


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